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Reportage

Cap sur la Bosnie et son histoire...

La Bosnie, de nouveau une destination séduisante ? C'est le pari que semble en passe de gagner le Tour Opérator Visit Europe/Travel Europe. En effet, ce dernier propose de nombreuses formules aussi captivantes les unes que les autres pour découvrir ce vaste pays. Notamment des voyages combinés Monténégro-Bosnie, des circuits Dubrovnik/ Dubrovnik qui mènent entre autre sur les routes de Sarajevo et de Mostar. Voici un petit précis des points attractifs et des lieux à visiter (dont plusieurs figurent au Patrimoine mondial de l’Unesco).

Par Françoise Surcouf



Vue générale de Sarajevo © Lindigomag/Pixabay
Vue générale de Sarajevo © Lindigomag/Pixabay
Capitale de la Bosnie-Herzégovine, Sarajevo est une ville surprenante. Entourée de collines, elle possède un vieux-centre ottoman très bien préservé et de nombreux bâtiments de la période austro-hongroise, érigés sur les rives de la rivière Miljacka.

Mosquée Careva Dzamija © Wikipédia Commons
Mosquée Careva Dzamija © Wikipédia Commons
Sarajevo, au cœur des tempêtes balkaniques

La cité fut d’abord habitée par les Illyriens, un groupe guerrier, dernier à résister face à l'occupation romaine, mais qui dut se rendre à Tibère en l'an 9, marquant le début de l'occupation.

Au cours du Moyen Âge, Sarajevo fait partie de la province bosnienne de Vrhbosna, vassale du royaume de Serbie. Enfin, en 1461, après la conquête ottomane le premier gouverneur, Isa-Beg Isakovic, transforme un groupe de villages bosnien en capitale d'État. Sarajevo est née. Isakovic y construit un marché couvert, la mosquée Careva Dzamija, des bains publics et un château pour le gouverneur (Saray) qui donne à la ville son nom actuel. La cité connait une période de prospérité au XVIème siècle durant lequel le bâtisseur Gazri Husrev-Beg fait édifier les bâtiments qui constituent ce qu'on appelle aujourd'hui « la vieille ville ». Sarajevo est rapidement connue pour ses grands marchés et ses mosquées, au nombre d'une centaine au XVIème siècle. En 1697, elle est pillée et brûlée lors d'une attaque menée contre l'Empire Ottoman par le prince Eugène de Savoie. Une grande partie de la ville est détruite à l'exception de quelques mosquées et de l'Eglise Orthodoxe. Par la suite, la cité perd son statut de capitale de la Bosnie au profit de Travnik.

De gauche à droite : La Place Sebilj au cœur du Bascarsija © FS; La célèbre Fontaine Sebilj, construite en 1891, emblème de Sarajevo © FS
De gauche à droite : La Place Sebilj au cœur du Bascarsija © FS; La célèbre Fontaine Sebilj, construite en 1891, emblème de Sarajevo © FS
La situation ne s'améliore guère au XIXème siècle où le déclin de l'Empire Ottoman augmente les tensions ethniques entre, d'une part, les musulmans, propriétaires terriens prospères, et d'autre part les chrétiens Serbes et Croates, paysans pauvres.

Et, si la cité est d’ores et déjà depuis plusieurs siècles divisée en quatre quartiers, musulman, juif, catholique et orthodoxe, à Sarajevo on peut trouver côte à côte une synagogue, une mosquée, une église orthodoxe et une église catholique.

Une promenade dans le Bascarsija, cœur de la vieille ville historique ottomane avec son bazar, son dédale de ruelles, ses boutiques, restaurants, cafés et sa place centrale dominée par la Fontaine Sebilj, témoigne encore de cette cohabitation pacifique. En flânant dans ses rues, chacun peut apercevoir les traces de cette identité plurielle qui fait toute la force du pays.

L’Archiduc François-Ferdinand et son épouse Sophie, tous deux décédés dans l’attentat de 1914 qui allait précipiter la première Guerre mondiale © FS et photo d'archives
L’Archiduc François-Ferdinand et son épouse Sophie, tous deux décédés dans l’attentat de 1914 qui allait précipiter la première Guerre mondiale © FS et photo d'archives
Un XXème siècle tourmenté





Le 28 juin 1914, alors que la Bosnie-Herzégovine est occupée par l’empire austro-hongrois depuis 1878, quand l'archiduc héritier François-Ferdinand et son épouse, en visite officielle dans la capitale, sont assassinés en plein défilé par un étudiant bosnien serbe, Gavrilo Princip.


Un attentat qui déclenche la Première Guerre mondiale et que met en scène le Musée d’Histoire de Sarajevo.

Mairie de Sarajevo © FS
Mairie de Sarajevo © FS

: Le Musée d’Histoire de Sarajevo et le Pont Princip ou eut lieu l’attentat © FS
: Le Musée d’Histoire de Sarajevo et le Pont Princip ou eut lieu l’attentat © FS
Musée d’Histoire de Sarajevo

Géré par la mairie de Sarajevo, ce petit musée d'une seule pièce s'intéresse à la période austro-hongroise de la ville qui va de 1878 à 1918. Les habitants l'appellent généralement Muzej Atentata « Musée de l'attentat » ou Muzej Mlade Bosne « Musée Jeune Bosnie », son ancien nom.

Le musée se tient à l'emplacement de l'ancien magasin d'alimentation autrichien Moritz Schiller Delicatessen devant lequel eut lieu l'attentat, le 28 juin 1914. Dans les années qui suivent l'effondrement de l'Empire austro-hongrois, le site devient un symbole pour l'élite serbe qui contrôle le pays, la rue est rebaptisée Kralja Petra (Pierre de Serbie) dès 1919. Le régime socialiste fait de Princip et de ses amis des héros « yougoslaves ».

Le pont voisin du futur Musée est rebaptisé Pont Princip en 1945. En 1949, nait le musée Muzej Mlade Bosne, Musée Jeune Bosnie, du nom du groupe révolutionnaire auquel appartenaient la plupart des acteurs de l'assassinat. Durant le siège de Sarajevo en 1992, l'immeuble l’abritant est gravement endommagé par les tirs des troupes serbes ainsi qu'en témoigne encore la façade. Il faut attendre 2007 pour que le musée rouvre. A l'extérieur, une plaque rappelle : « Depuis cet endroit, le 28 juin 1914*, Gavrilo Princip assassina l'héritier du trône d'Autriche-Hongrie François-Ferdinand et sa femme Sophie ».

A l'intérieur, huit panneaux illustrent la période austro-hongroise depuis la conquête de 1878 jusqu'à l'attentat. Deux plans détaillent les parcours du convoi princier. Dans la salle sont aussi exposés des objets d’époque, de nombreuses photos des révolutionnaires, notamment durant leur procès à Sarajevo en octobre 1914, les vêtements portés par Gavrilo Princip le jour du crime ainsi que des armes d'époque et deux mannequins en costumes représentant François-Ferdinand et Sophie quelques minutes avant leur mort. L’écran interactif permet de découvrir les principaux faits historiques et monuments de la ville.

De gauche à droite : Emplacement de la maison de Gavrilo Princip. La demeure a été rasée après l’attentat. C’est aujourd’hui l’Hôtel Villa Orient © DR; : Gavrilo Princip, l’auteur de l’attentat qui coûta la vie à l’Archiduc et à  son épouse © Wikipédia
De gauche à droite : Emplacement de la maison de Gavrilo Princip. La demeure a été rasée après l’attentat. C’est aujourd’hui l’Hôtel Villa Orient © DR; : Gavrilo Princip, l’auteur de l’attentat qui coûta la vie à l’Archiduc et à son épouse © Wikipédia
La maison de Gavrilo Princip se trouvait, elle, au n° 8 de la rue Oprkanj, dans le quartier de Bascarsija, à 80 m à l'est de la place Sebilj.


C'est de là que partit le jeune meurtrier au matin du 28 juin 1914. La bâtisse fut détruite dès le lendemain de l'assassinat. Lors de votre balade dans la vieille ville, vous pourrez voir son emplacement, sur lequel aujourd'hui, se dresse l'Hôtel Villa Orient.

Non loin de là, près de la rivière, admirons la Mairie de Sarajevo, d'architecture ottomane, décorée comme un véritable palais et idéalement placée au bord de la rivière qui traverse la cité.

De gauche à droite : Musée National de Bosnie Herzegovine © Wikipédia; : La Cathédrale catholique du Cœur-de-Jésus © DR ; La Cathédrale orthodoxe de la Nativité-de-la-Mère-de-Dieu © FS
De gauche à droite : Musée National de Bosnie Herzegovine © Wikipédia; : La Cathédrale catholique du Cœur-de-Jésus © DR ; La Cathédrale orthodoxe de la Nativité-de-la-Mère-de-Dieu © FS
À Sarajevo, il ne faut pas manquer de visiter également le Musée National (art et archéologie), la Cathédrale catholique, l’Eglise orthodoxe et le quartier austro-hongrois, avant de se perdre dans les ruelles pavées du quartier ottoman  et de savourer un café dans l’une des échoppes qui les bordent. Vous pourrez également déguster une délicieuse « pita » (ou burek) dans un des bons petits restaurants typiques (buregdžinica), d’une ville qui en regorge. A voir également le petit téléphérique qui vous emmènera sur les hauteurs de la ville. Panorama grandiose assuré.

: Un café dans le Vieux Quartier Bascarsija © FS et  les fameux : Bureks. Miam, miam… © FS
: Un café dans le Vieux Quartier Bascarsija © FS et les fameux : Bureks. Miam, miam… © FS
La « pita », typiquement bosnien


Les Pitas sont incontournables dans la cuisine bosnienne. Il en existe au fromage (sirnica), aux épinards (zeljanica), aux pommes de terre (krompiruša) et à la viande (ainsi le burek est plutôt la dénomination de la variante carnée).

Il s’agit d’un feuilleté fourré, roulé « en escargot ». Le tout est un peu gras mais délicieux et très copieux. A déguster avec un grand verre de yogurt !

Une tradition en Bosnie le rituel du café. @ lindigomag/Pixabay
Une tradition en Bosnie le rituel du café. @ lindigomag/Pixabay
Le rituel du café (turc évidemment)
 
En Bosnie, lorsque vous êtes invités pour un café, sachez qu’il y a des règles très précises grâce auxquelles vous pourrez déchiffrer votre degré de proximité avec votre hôte.
La première tasse offerte est celle « de bienvenue », la deuxième celle de « conversation », la troisième celle de « départ ». Elle signifie que, si vous ne voulez pas être impoli, l’heure est venue de quitter les lieux. Si votre café est froid, cela veut dire que vous n’êtes pas le bienvenu. Si, la fois suivante, il est chaud, c’est que le malentendu entre vous et votre hôte est dissipé ou que vous étiez juste tombé à un mauvais moment, s’il est toujours froid, inutile d’insister, vous n’êtes jamais plus désiré dans cette maison…

de gauche à droite : : Maison du Tunnel. Le fameux Tunnel de Sarajevo avait son entrée dans la cour de cette maison, criblée de balles lors des affrontements © FS; Entrée du Tunnel de Sarajevo © FS
de gauche à droite : : Maison du Tunnel. Le fameux Tunnel de Sarajevo avait son entrée dans la cour de cette maison, criblée de balles lors des affrontements © FS; Entrée du Tunnel de Sarajevo © FS
Le Tunnel de Sarajevo

L'histoire moderne de Sarajevo débute avec la déclaration d'indépendance de la Bosnie-Herzégovine.


La ville devient capitale du nouvel État. Les trois années qui suivent voient Sarajevo devenir le cadre du plus long siège de l'histoire militaire moderne. Le 6 avril 1992, la ville est encerclée par les forces serbes.

Près de 400 obus tombent sur la ville chaque jour, avec un record de 3.777 le 22 juillet 1993. Sarajevo est privée d'électricité, de chauffage, d'eau et de médicaments. La guerre dure jusqu'en octobre 1995. Elle fait 12 000 morts et 50 000 blessés.

Les accords de Dayton mettent fin au conflit. En 1993, la ville est assiégée depuis un an et les habitants manquent de nourriture et de munitions.

200 hommes creusent un tunnel sous l’aéroport, situé en territoire neutre, entre les quartiers de Dobrinja et Butmir, pour permettre l’évacuation des civils et l’approvisionnement de Sarajevo en armes et en nourriture. C’est cet endroit extraordinaire que vous allez visiter, mesurant ainsi la dureté des conditions de vie et l’horreur de cette guerre fratricide.

Musée du bois de Konjic. Travail d'un meuble (détail) © FS
Musée du bois de Konjic. Travail d'un meuble (détail) © FS
Faisons à présent route vers Mostar

En chemin, arrêtons-nous à Konjic pour la visite du Musée du Bois.


Depuis le XXème siècle, la ville cultive une extraordinaire tradition de l’artisanat de la sculpture sur bois, élaborant de remarquables motifs faits à la main.

Aujourd’hui, la tradition perdure se transmettant de génération en génération.

Deux ateliers familiaux de sculpture sur bois Niksic et Mulic fabriquent encore sur commande des objets d’artisanat en noyer, en cerisier ou en érable. La famille Mulic a également transformé sa maison en musée ouvert au public. Une vraie découverte.

Pont de Mostar. Le Stari Most qui donne son nom à la ville. Reconstruit après la guerre, ce pont du XVIème siècle est inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco © FS
Pont de Mostar. Le Stari Most qui donne son nom à la ville. Reconstruit après la guerre, ce pont du XVIème siècle est inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco © FS

De gauche à droite : le Stari Most, qui a donné son nom à la ville. C’est de là que les célèbres « Mostari » se jettent dans la rivière ; Cour pavée de la Maison Turque © FS
De gauche à droite : le Stari Most, qui a donné son nom à la ville. C’est de là que les célèbres « Mostari » se jettent dans la rivière ; Cour pavée de la Maison Turque © FS
Mostar, la magie d’une cité historique

À Mostar, la ville la plus chaude d’Europe (jusqu’à 48 à 50° en été), classée au patrimoine mondial de l’Unesco, la balade nous mène du quartier musulman aux rives du fleuve Neretva, littéralement la rivière émeraude.

La cité historique a conservé un caractère oriental et un mode de vie cosmopolite et authentique. Reconstruite pierre par pierre après la guerre, la vieille ville, classée par l’Unesco, offre à nouveau son merveilleux décor au voyageur : un ensemble architectural remarquable, avec ses maisons de style ottoman et son vieux pont, le Stari Most, qui a donné son nom à la ville. C’est de là que les célèbres « Mostari » se jettent dans la rivière sous les yeux ébahis du public. Un conseil, accrochez-vous bien, la descente des pavés est glissante… Faites un détour par la Maison Turque, typique de l’architecture ottomane ancienne.

Trebinje. Vue de la colline et du monastère Crkvine © FS
Trebinje. Vue de la colline et du monastère Crkvine © FS
Trebinje, la douceur de vivre



Trebinje, l' une des plus anciennes villes de Bosnie-Herzégovine,

Elle tire une grande réputation de ses paysages rappelant la Provence et ses monuments historiques ainsi que son patrimoine culturel et architectural.


La ville est dominée par un monastère construit sur la colline Crkvine surplombant la rivière.

De gauche à droite : : Vieille ville de Dubrovnik. L’ancienne Raguse affiche encore des airs vénitiens… © FS; Ruelle adjacente au Stradun, l’artère majeure de la Vieille Ville de Dubrovnik © FS
De gauche à droite : : Vieille ville de Dubrovnik. L’ancienne Raguse affiche encore des airs vénitiens… © FS; Ruelle adjacente au Stradun, l’artère majeure de la Vieille Ville de Dubrovnik © FS
Dubrovnik, perle de l’Adriatique

Ne manquez pas enfin un petit détour par Dubrovnik, l’ancienne Raguse, « perle de l’Adriatique » comme la surnommait Lord Byron, dont le centre-ville est entièrement inscrit au patrimoine de l’Unesco.



Des remparts impressionnants enserrent la cité médiévale et le 
Stradun, axe autour duquel s’organise son bel ensemble architectural avec des constructions de différents styles.

Une balade le long de cette artère, la principale de la ville, est un véritable voyage dans le temps. Les styles les plus divers cohabitent dans une parfaite harmonie, comme unifiés par la pierre blanche qui caractérise les constructions de Dubrovnik.

Clin d’œil, allez vous asseoir sur le célèbre « Trône de Fer » du feuilleton 
Game of Thrones, tourné en grande partie à Dubrovnik et sur l’île de Lokrum, juste en face, dans la baie.

L’île abrite, outre une 
réserve naturelle et un jardin botanique les vestiges d’une abbaye bénédictine des XIème et XIIème siècles dans laquelle deux salles d’exposition sont consacrées à la série.

Lîle de Lokrum, haut lieu du tournage de Game of Thrones © FS
Lîle de Lokrum, haut lieu du tournage de Game of Thrones © FS
 

 

1/ Musée d'Histoire de Sarajevo ; Les jardins du Musée.Stèle et sarcophage; Mosquée du Vieux quartier; '4/ Echoppe du Vieux quartier, 5/Asseyez-vous sous  les ombrages pour déguster un café turc; 6/ Rue commerçante du Vieux quartier ottoman, le Bascarsija. @ toutes les photos F.Surcouf
1/ Musée d'Histoire de Sarajevo ; Les jardins du Musée.Stèle et sarcophage; Mosquée du Vieux quartier; '4/ Echoppe du Vieux quartier, 5/Asseyez-vous sous les ombrages pour déguster un café turc; 6/ Rue commerçante du Vieux quartier ottoman, le Bascarsija. @ toutes les photos F.Surcouf
Plus d'infos

A visiter

Le Musée de l’Histoire de Sarajevo
Zelenih Beretki 1- Baščaršija- Sarajevo
Ouvert de 10h à 16h (18h en été), samedi de10h à15h- Fermé dimanche- Tarif : 4 KM (-18 ans 1 KM) - inclus dans le pass des musées de Sarajevo.
Musée National de Bosnie- Herzégovine
Zmaja od Bosne 3- Sarajevo.
Ouvert du mardi au vendredi de 10h à 19h et les samedis et dimanches de 10h à 14h.
Musée du Bois
Konjic
Y aller : Avec Travel Europe/Visit Europe qui propose des combinés Monténégro, Croatie et Bosnie en 8 jours/7 nuits au départ de Lyon, Nantes, Paris, Toulouse (voir brochure Visit Europe 2018). Le groupe Travel Europe fête en 2019 son 33ème anniversaire en ajoutant également à sa production l’Albanie, la Bulgarie et la Roumanie et lance une première virale inédite : une série de 4 romans policiers, dont l'intrigue aura pour cadre l’un des pays programmés. A la clé une énigme à résoudre et un voyage à gagner. Et, En 2019, pour l'occasion, gratuité pour la 33ème personne du groupe sur toutes les nouveautés !

Monnaie: 

En Bosnie : À l’origine indexé sur le mark allemand, le mark convertible l’est désormais sur l’euro, en juin 2018 : 1 € = 2 KM et 1 KM = 0,50 €.
En Croatie : Le kuna est la monnaie nationale croate.1€ = 7,39HRK



 

1/Hôtel Bevanda Mostar @ DR, 2/Hôtel Europe Sarajevo @ DR, 3/Hôtel Valamar Argosy Dubrovnik @ DR, 4/ Restaurant Pod Lipom Sarajevo @ DR, 5/ Restaurant 4sobe Gospodje Safije Sarajevo @DR , 6/ Restaurant Konoba Posat Dubrovnik  @DR
1/Hôtel Bevanda Mostar @ DR, 2/Hôtel Europe Sarajevo @ DR, 3/Hôtel Valamar Argosy Dubrovnik @ DR, 4/ Restaurant Pod Lipom Sarajevo @ DR, 5/ Restaurant 4sobe Gospodje Safije Sarajevo @DR , 6/ Restaurant Konoba Posat Dubrovnik @DR
Dormir

A Sarajevo

Hôtel Europe.
www.hoteleurope.ba


A Mostar
Hôtel Bevanda.
http://bevanda.ba


A Dubrovnik
Hôtel Valamar Argosy.
 
www.valamar.com/Dubrovnik/Hotel-Argosy

Déguster 

A Sarajevo


Restaurant Pod Lipom-
Prote Bakovica 6.
Spécialités bosniennes. Savoureux et goûtu. Bill Clinton y avait ses habitudes lors de ses passages à  Sarajevo.


Restaurant 4sobe Godspodje 
Safije. Čekaluša 61.
Tout près de la Fontaine un restaurant typique. Cuisine bosnienne haut de gamme pour le meilleur restaurant gastronomique de la région.



 

1/Restaurant Podrumi Vukoje 1982 Trebinje @ DR, 2/ Restaurant Banje Beach Dubrovnik @ DR, 3/ Trebinje, l' une des plus anciennes villes de Bosnie-Herzégovine @ FS, 4/ Restaurant Konoba Taurus Mostar @DR
1/Restaurant Podrumi Vukoje 1982 Trebinje @ DR, 2/ Restaurant Banje Beach Dubrovnik @ DR, 3/ Trebinje, l' une des plus anciennes villes de Bosnie-Herzégovine @ FS, 4/ Restaurant Konoba Taurus Mostar @DR
A Trebinje

Restaurant et cave à vins Podrumi Vukoje 1982. Mirna 28. Une cave à vins somptueuse et un restaurant à la vue imprenable, la terrasse surplombe la ville.

A Mostar
Restaurant Konoba Taurus. Onešćukova b.b. Un cadre superbe, le pont de Mostar est à quelques pas, la rivière en contrebas, pour une cuisine excellente et inventive.

A Dubrovnik
Restaurant Banje Beach. Ul. Frana Supila 10A. Un cadre splendide pour une cuisine raffinée.

http://www.banjebeach.com
Restaurant Konoba Posat. Ul. uz Posat 1. Spécialités de poissons et fruits de mer. Ici on privilégie fraîcheur et qualité. Carte des vins impressionnante.
https://www.posat-dubrovnik.com


 


29/08/2018
Françoise Surcouf





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