Une fugue sylvestre et vineuse, entre rivière, hébergement insolite et majesté forestière @Richard Bayon
En quelques mots :
Dès les beaux jours, la place de la République, de la Chartre sur le Loir, où se situe l’hôtel, prend des airs de parking de voitures de collection et la langue de Shakespeare résonne aux quatre coins de la place dans ce petit bout de France. Un excellent point de départ que cette tranquille bourgade de près de 1400 habitants pour rayonner vers la magique forêt de Bercé et ses chênes multi centenaires et découvrir les vignobles des Coteaux du Loir et de Jasnières dont la réputation n’est plus à faire.
Justement, à propos de ces deux appellations d’origine contrôlée, une visite s’impose à la Maison du Tourisme et du vignoble où l’on peut à la fois tout demander et tout savoir sur les sites incontournables à visiter, les activités nature et ludiques proposées en vallée du Loir avant de passer dans la pièce de dégustation dédiée aux vins des deux AOC précédemment citées. Une vinothèque s’offre au visiteur, ou un grand nombre de vignerons mettent ici leurs vins en vitrine ou plutôt sur des étagères pour des séances d’initiation à la dégustation et à la découverte des vignobles des Coteaux du Loir et de Jasnières.
Née de la collaboration entre l’Office de Tourisme de la Vallée du Loir (OTVL) et le Groupement de Développement Viticole de la Sarthe (GDVS), cette offre deux en un vous renseigne et vous divertit. Les séances de dégustation sont animées par une œnologue dans le seul but de partager la passion de la vigne et de découvrir les saveurs d’un terroir qui réserve de bien belles surprises gustatives.
On y reviendra à ces fameux vins, côté vignobles cette fois, avec une symbiose parfaite entre paysages viticoles et nature environnante.
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Vignes, forêt, moteurs : entre les coteaux confidentiels de Jasnières, la majestueuse forêt de Bercé et l’héritage automobile de La Chartre-sur-le-Loir, la Vallée du Loir carbure à l’authenticité.
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Chenin, chênes et chefs inspirés : ici, on déguste des vins racés, on marche sous des futaies cathédrales, on savoure une cuisine locale qui vise juste – sans chichi, mais avec panache.
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Un paradis vert à 200 km de Paris : tranquille, ombragée, secrète… la Vallée du Loir ne se donne pas au premier venu. Mais ceux qui prennent le temps n’ont qu’une envie : y revenir.
Dès les beaux jours, la place de la République, de la Chartre sur le Loir, où se situe l’hôtel, prend des airs de parking de voitures de collection et la langue de Shakespeare résonne aux quatre coins de la place dans ce petit bout de France. Un excellent point de départ que cette tranquille bourgade de près de 1400 habitants pour rayonner vers la magique forêt de Bercé et ses chênes multi centenaires et découvrir les vignobles des Coteaux du Loir et de Jasnières dont la réputation n’est plus à faire.
Justement, à propos de ces deux appellations d’origine contrôlée, une visite s’impose à la Maison du Tourisme et du vignoble où l’on peut à la fois tout demander et tout savoir sur les sites incontournables à visiter, les activités nature et ludiques proposées en vallée du Loir avant de passer dans la pièce de dégustation dédiée aux vins des deux AOC précédemment citées. Une vinothèque s’offre au visiteur, ou un grand nombre de vignerons mettent ici leurs vins en vitrine ou plutôt sur des étagères pour des séances d’initiation à la dégustation et à la découverte des vignobles des Coteaux du Loir et de Jasnières.
Née de la collaboration entre l’Office de Tourisme de la Vallée du Loir (OTVL) et le Groupement de Développement Viticole de la Sarthe (GDVS), cette offre deux en un vous renseigne et vous divertit. Les séances de dégustation sont animées par une œnologue dans le seul but de partager la passion de la vigne et de découvrir les saveurs d’un terroir qui réserve de bien belles surprises gustatives.
On y reviendra à ces fameux vins, côté vignobles cette fois, avec une symbiose parfaite entre paysages viticoles et nature environnante.
Une futaie cathédrale, un nom prédestiné
De ce chêne, 3 siècles vous contemplent
A propos de nature, qui n’a pas vu, ou à minima traversé, la mythique forêt de Bercé, ne sait pas ce que le mot forêt veut dire. Plantons le décor : c’est un patrimoine naturel exceptionnel que cette forêt domaniale de Bercé. Gérée par l’ONF (Office National des Forêts) elle fut classée forêt royale dès le XIVe siècle car c’est l’une des plus belles réserves de chênes de France, avec des bois d’une qualité incomparable.
Avec une superficie de 5400 hectares, la forêt de Bercé se réparti avec une réserve de 3000 ha de chênes et 2400 hectares de résineux. On y exploite les chênes depuis plus de 200 ans notamment pour la tonnellerie. La qualité de ces arbres multi centenaires y est telle, que certains géants ont été sélectionnés, prélevés et débités pour la reconstruction de la charpente de Notre Dame de Paris et surtout la flèche. Ainsi au lieu-dit de la Futaie des Clos, on a dénombré pas moins de 400 chênes âgés d’environ 330 ans et atteignant une hauteur moyenne de 45 mètres. On appelle d’ailleurs ça, une futaie cathédrale, un nom prédestiné !
Épousant une forme de croissant avec une excroissance sur son flanc nord, la forêt de Bercé est le point de départ de très nombreux sentiers de randonnées avec une flore qui est une pharmacopée à elle toute seule.
La faune y est bien présente également, et si la circulation routière y est limitée à 50km/heure ce n’est pas une vue de l’esprit, c’est plutôt pour la sécurité des automobilistes eux-mêmes, et aussi du grand gibier fréquemment aperçu sur les bas-côtés. Les gardes forestiers veillent au bon respect de ces règles et ont un pouvoir de verbalisation.
Il existe à minima trois lieux dits incontournables à voir dans cette forêt, à savoir la fontaine de la Coudre, la futaie des Clos et ses chênes Boppe 1 et 2 (foudroyé pour ce dernier) et le Vallon de l’Hermitière ou sources de l’Hermitière. Très bien desservie par des routes et chemins, on ne dénombre pas moins de 15 ronds-points avec panneaux de signalisation et d’indication de leurs destinations au design plus que centenaire.
Pout tout savoir et tout comprendre sur la forêt de Bercé, rien de tel qu’une visite chez Carnuta , la maison de l’homme et de la forêt. Un musée ludique et pédagogique situé en plein cœur du bourg de Jupilles. Avec une architecture atypique, qui tranche vraiment avec les autres maisons de ce charmant village, à vous de jouer les apprentis forestiers.
Tous les sens sont en éveil avec des bornes interactives ou manuelles permettant de toucher, sentir, écouter et observer la forêt toute proche. Des couts métrages en projection vidéo retracent bien la chronologie historique tant de la forêt que de ses voisins et aussi et surtout de ceux qui y ont travaillé et l’on entretenu.
Avec une superficie de 5400 hectares, la forêt de Bercé se réparti avec une réserve de 3000 ha de chênes et 2400 hectares de résineux. On y exploite les chênes depuis plus de 200 ans notamment pour la tonnellerie. La qualité de ces arbres multi centenaires y est telle, que certains géants ont été sélectionnés, prélevés et débités pour la reconstruction de la charpente de Notre Dame de Paris et surtout la flèche. Ainsi au lieu-dit de la Futaie des Clos, on a dénombré pas moins de 400 chênes âgés d’environ 330 ans et atteignant une hauteur moyenne de 45 mètres. On appelle d’ailleurs ça, une futaie cathédrale, un nom prédestiné !
Épousant une forme de croissant avec une excroissance sur son flanc nord, la forêt de Bercé est le point de départ de très nombreux sentiers de randonnées avec une flore qui est une pharmacopée à elle toute seule.
La faune y est bien présente également, et si la circulation routière y est limitée à 50km/heure ce n’est pas une vue de l’esprit, c’est plutôt pour la sécurité des automobilistes eux-mêmes, et aussi du grand gibier fréquemment aperçu sur les bas-côtés. Les gardes forestiers veillent au bon respect de ces règles et ont un pouvoir de verbalisation.
Il existe à minima trois lieux dits incontournables à voir dans cette forêt, à savoir la fontaine de la Coudre, la futaie des Clos et ses chênes Boppe 1 et 2 (foudroyé pour ce dernier) et le Vallon de l’Hermitière ou sources de l’Hermitière. Très bien desservie par des routes et chemins, on ne dénombre pas moins de 15 ronds-points avec panneaux de signalisation et d’indication de leurs destinations au design plus que centenaire.
Pout tout savoir et tout comprendre sur la forêt de Bercé, rien de tel qu’une visite chez Carnuta , la maison de l’homme et de la forêt. Un musée ludique et pédagogique situé en plein cœur du bourg de Jupilles. Avec une architecture atypique, qui tranche vraiment avec les autres maisons de ce charmant village, à vous de jouer les apprentis forestiers.
Tous les sens sont en éveil avec des bornes interactives ou manuelles permettant de toucher, sentir, écouter et observer la forêt toute proche. Des couts métrages en projection vidéo retracent bien la chronologie historique tant de la forêt que de ses voisins et aussi et surtout de ceux qui y ont travaillé et l’on entretenu.
Le Chenin appelé aussi Pineau de la Loire
Les vignes du domaine AOC Jasnieres
Ainsi entre forêt de Bercé et vallée du Loir si proches l’un de l’autre, il n’est pas étonnant de constater que le cyclotourisme y trouve toute sa place. Ici on pourrait plutôt dire l’oeno-cyclotourisme, tant les itinéraires à deux roues, qui partent depuis la vallée du loir, longent au départ la verdoyante et ombragée rivière et vous remontent immanquablement vers les vignobles de cette région du Sud Sarthe et plus particulièrement vers le cru de Jasnières.
Une vue imprenable à 180° depuis sa table d’orientation, baptisée « Mon Idée » dominant les rangs de vignes pentus et bien en bas, la vallée du Loir. Un superbe endroit pour pique-nique et combiner produits du terroir et vins régionaux. Ici l’AOC Jasnières qui produit 300 000 bouteilles par an se décline en blanc uniquement issue du cépage Chenin appelé aussi Pineau de la Loire (avec un e cette fois, bien que l’on soit en vallée du Loir). L’explication réside dans le fait que le berceau du cépage Chenin donc appelé aussi Pineau de la Loire s’exprime parfaitement dans les appellations d’origine contrôlée peuplant les bords de la Loire telles : Vouvray, Montlouis, Saumur et Anjou pour ne citer que ces quatre là.
L’autre appellation d’origine contrôlée, c’est l’AOC Coteaux du Loir qui produit près de 320 000 bouteilles par an et se décline dans les trois couleurs : en Rouge (42% de l’appellation), en Blanc (38%) et enfin en rosé (20%). Cette appellation s’étire sur quelques dizaines de km principalement sur la rive droite de la vallée du Loir, mais aussi sur les coteaux au sud de la vallée du Loir. Présents à 90% dans le département de la Sarthe, 10% de cette appellation sont cependant cultivés et vinifiés en Inde et Loire (Touraine). Si le blanc tout comme le Jasnières n’est issu que du seul cépage Chenin, les autres couleurs font appel à des assemblages : Pineau d’Aunis, Côt, Gamay et Grolleau pour les vins rosés et Pineau d’Aunis, Cabernet Franc, Gamay et Côt pour les rouges.
Les Jasnières ont une bonne garde dans le temps et peuvent se présenter en vins moelleux les grandes années, quant aux Coteaux du Loir, les oenophilles apprécient le coté Bonbon anglais, framboise, épicé et poivré du cépage Pineau d’Aunis moins connu sous le nom de Chenin Noir. Un subtil équilibre entre une belle vivacité et une élégance propre à ce cépage.
Une vue imprenable à 180° depuis sa table d’orientation, baptisée « Mon Idée » dominant les rangs de vignes pentus et bien en bas, la vallée du Loir. Un superbe endroit pour pique-nique et combiner produits du terroir et vins régionaux. Ici l’AOC Jasnières qui produit 300 000 bouteilles par an se décline en blanc uniquement issue du cépage Chenin appelé aussi Pineau de la Loire (avec un e cette fois, bien que l’on soit en vallée du Loir). L’explication réside dans le fait que le berceau du cépage Chenin donc appelé aussi Pineau de la Loire s’exprime parfaitement dans les appellations d’origine contrôlée peuplant les bords de la Loire telles : Vouvray, Montlouis, Saumur et Anjou pour ne citer que ces quatre là.
L’autre appellation d’origine contrôlée, c’est l’AOC Coteaux du Loir qui produit près de 320 000 bouteilles par an et se décline dans les trois couleurs : en Rouge (42% de l’appellation), en Blanc (38%) et enfin en rosé (20%). Cette appellation s’étire sur quelques dizaines de km principalement sur la rive droite de la vallée du Loir, mais aussi sur les coteaux au sud de la vallée du Loir. Présents à 90% dans le département de la Sarthe, 10% de cette appellation sont cependant cultivés et vinifiés en Inde et Loire (Touraine). Si le blanc tout comme le Jasnières n’est issu que du seul cépage Chenin, les autres couleurs font appel à des assemblages : Pineau d’Aunis, Côt, Gamay et Grolleau pour les vins rosés et Pineau d’Aunis, Cabernet Franc, Gamay et Côt pour les rouges.
Les Jasnières ont une bonne garde dans le temps et peuvent se présenter en vins moelleux les grandes années, quant aux Coteaux du Loir, les oenophilles apprécient le coté Bonbon anglais, framboise, épicé et poivré du cépage Pineau d’Aunis moins connu sous le nom de Chenin Noir. Un subtil équilibre entre une belle vivacité et une élégance propre à ce cépage.
Une invitation à un voyage bucolique
Restaurant "Le Silex", un halte gustative indispensable
Une fois les pentes négociées en vélo à assistance électrique et les vins descendus dans votre gosier avec respect et modération, rien ne vaut un déjeuner dans le charmant restaurant « Le Silex » dans le bourg de Chahaignes. Ici, un couple de jeunes chefs composé de Maité Hervé et Florent Demas jouent une partition à quatre mains, pour une cuisine élégante et raffinée depuis tout juste trois ans.
Leurs nombreuses expériences professionnelles en restaurants gastronomiques et belles brasseries en Europe et en Océanie ont été leurs universités. Récompensés tout récemment d’un Bib Gourmand par le Guide Michelin, ils jouent la carte de la proximité pour s’approvisionner. Légumes et fromages autochtones n’ont plus de secret pour eux. Avec deux salles et une terrasse à même le trottoir, face à l’église du Bourg, le Silex vous invite à un voyage bucolique aux touches exotiques et subtiles. Un restaurant qui a déjà ses adeptes et où il est prudent dé réserver pour une cuisine qui monte.
Ici les vins issus des deux appellations Sarthoises participent aux meilleurs accords mets & vins comme ceux du Domaine Gigou, une aventure de famille débutée il y a déjà un demi-siècle avec deux générations dans les vignes, aux mains des enfants devenus des références dans les deux appellations. Une réputation d’excellence, qui ne s’est pas faite sans épreuves, à la fois pour comprendre le terroir, maîtriser autant que faire se peut, les aléas climatiques et ainsi pouvoir se faire une place et un nom quand on s’est lancé un jour dans ce sacerdoce de vigneron et que ce n’est pas votre vocation initiale.
Ici au Domaine Gigou, les vins sont gouleyants, ils ont la gueule de l’endroit, tendre et subtil.
Cette vallée du Loir a tellement d’atouts qu’elle aime à les garder secrets, c’est sans doute pour cette raison qu’on ressent ici une certaine forme d’exotisme à nul autre pareil à seulement 200km de la ville lumière. Le voyageur qui saura saisir ce particularisme local obtiendra les clés d’un paradis vert et bien ombragé. La Vallée du Loir, on ne demande qu’à y revenir.
Richard Bayon
Leurs nombreuses expériences professionnelles en restaurants gastronomiques et belles brasseries en Europe et en Océanie ont été leurs universités. Récompensés tout récemment d’un Bib Gourmand par le Guide Michelin, ils jouent la carte de la proximité pour s’approvisionner. Légumes et fromages autochtones n’ont plus de secret pour eux. Avec deux salles et une terrasse à même le trottoir, face à l’église du Bourg, le Silex vous invite à un voyage bucolique aux touches exotiques et subtiles. Un restaurant qui a déjà ses adeptes et où il est prudent dé réserver pour une cuisine qui monte.
Ici les vins issus des deux appellations Sarthoises participent aux meilleurs accords mets & vins comme ceux du Domaine Gigou, une aventure de famille débutée il y a déjà un demi-siècle avec deux générations dans les vignes, aux mains des enfants devenus des références dans les deux appellations. Une réputation d’excellence, qui ne s’est pas faite sans épreuves, à la fois pour comprendre le terroir, maîtriser autant que faire se peut, les aléas climatiques et ainsi pouvoir se faire une place et un nom quand on s’est lancé un jour dans ce sacerdoce de vigneron et que ce n’est pas votre vocation initiale.
Ici au Domaine Gigou, les vins sont gouleyants, ils ont la gueule de l’endroit, tendre et subtil.
Cette vallée du Loir a tellement d’atouts qu’elle aime à les garder secrets, c’est sans doute pour cette raison qu’on ressent ici une certaine forme d’exotisme à nul autre pareil à seulement 200km de la ville lumière. Le voyageur qui saura saisir ce particularisme local obtiendra les clés d’un paradis vert et bien ombragé. La Vallée du Loir, on ne demande qu’à y revenir.
Richard Bayon
Liens vers les adresses incontournables :
Optez pour une chambre insolite," forest" à la Bercéenne @Richard Bayon
Accueil/Infos/Réservations.
https://www.vallee-du-loir.com
Déguster :
https://gigou-jasnieres.com
Et en plus de la visite des caves, du caveau de dégustation, ils disposent également de trois chambres d’hôtes.
Se restaurer :
https://silex-restaurant.fr
et
https://www.chezfredlhomme.fr
Se Loger :
https://bed-and-breakfast-la-berceenne.com
Un lieu et une adresse idyllique, au grand calme, en pleine nature, avec de l’espace et en bordure de la mythique forêt de Bercé. Demander à tester les chambres insolites dans un Kota finlandais et une cabane Forest. Hôte disponible et convivial au Petit-Déjeuner proverbial aux viennoiseries croustillantes.
Visiter :
https://www.carnuta.fr
https://www.onf.fr/vivre-la-foret/forets-de-france/%2B/1757::foret-domaniale-de-berce.html
Insolite :
https://www.vallee-du-loir.com/offres/musee-de-boutiques-anciennes-et-cabinet-de-curiosites-la-chartre-sur-le-loir-fr-3680261/
