Bienvenue au paradis du Dar Oomi pour quelques jours de pure félicité

Dar Oomi, traduisez Maison de ma mère, se présente d’emblée comme une tendre dédicace. Et en effet, Myriam, sa sœur et son frère ont voulu que cette vaste maison d’hôtes soit à la hauteur du souvenir qu’ils gardent d’une mère très aimée.

Dans cette famille très unie le père lui aussi reste discrètement présent dans sa demeure en retrait derrière la perspective des bassins. C’est dire si la chaleur humaine en ces lieux a compté dans l’élaboration du projet qui a duré plusieurs années. L’architecte c’est le frère, Hichem, Myriam étant l’âme ouvrière des décors inspirés, Sophie le sourire et la gentillesse personnifiée.

Dans le même esprit d’hommage chaque résidence vous mène de surprise en éblouissement dans l’univers d’une reine, d’une guerrière, d’une écrivaine ou d’une intellectuelle, chacune ayant laissé sa figure ou sa légende dans l’histoire.

Vous poussez la porte de la mythique Balkis, reine de Saba ou de Didon, première reine de Carthage. Celle de Hypatie d’Alexandrie, philosophe antique ou Tomoe Gozen samouraï et guerrière japonaise. A moins que vous ne préfériez Lakshmi Bai, cette autre guerrière qui résista à en mourir aux Anglais ou Olympe de Gouges, femme de lettres pionnière du féminisme. Sans oublier la résidence de Rosa Parks, noire-américaine qui lutta contre la ségrégation raciale et celle de Simone de Beauvoir égérie du combat des femmes…

Elle reflète de bout en bout l’univers de chacune de ces belles personnalités.



Exemple à la résidence Rosa Parks avec son savant mélange de masques stylisés, de tentures Pierre Frey brodées de femmes tribales élancées, de luminaires en cages à oiseaux, d’une bibliothèque sur la question du combat des Noirs aux USA. Le tout dans une luxuriance de couleurs et le contraste inattendu d’une table design et ses chaises Pantom vertes édition limitée.

Toutes jouent ainsi de contrastes entre objets et œuvres d’art chinés et mobilier de créateurs : ici une chaise Le Corbusier, là une table en marbre Knoll, des papiers peints panoramiques Ananbô…

La surface des résidences est à l’avenant du mobilier exposé car pas de luxe sans espaces privilégiés dans lesquels se mouvoir à l’aise.

On commence à 150 m2 pour les deux “petites“ Rosa Park et Hypatie d’Alexandrie et on et grimpe jusqu’à 835m² pour la résidence Balkis, dernière-née, une vraie demeure pour famille nombreuse ou retrouvailles entre amis. Les salles de bains ouvertes sur l’extérieur font partie du décor dans la beauté de leurs vasques chaque fois différentes, de leurs revêtements de marbre ou de pierre de Gabès prolongées bien sûr par une piscine privée, une terrasse accueillante et un roof top avec vue où il est possible de se reposer, prendre le soleil ou dîner sous les étoiles.

Au Dar Oomi tout est conçu pour lâcher prise grâce à la qualité des services proposés.

Vous souhaitez déjeuner sur la plage ? Pas de problème, une voiture vous attend à l’heure dite et vous mène à deux kilomètres où vous attend un petit coin de paradis face à la mer turquoise avec tapis berbère, parasols, fauteuils en osier, vins et rafraichissements pour accompagner un pique-nique à la tunisienne. Le soir venu, un repas maison vous est servi si vous décidez de dîner à la table d’hôtes face au long bassin et sous la lumière des candélabres ou bien dans votre résidence. Musique instrumentale, cours de yoga et bientôt Spa font partie d’autres réjouissances. Un pont séparant Dar Oomi de Djerba, des visites sont aussi au programme comme une balade dans les ruelles étroites d’Erriadh couvertes de fresques où un Festival de la Medina attire les Street artistes, découverte de la Ghriba, cette très ancienne synagogue où affluent chaque année en pèlerinage les juifs de tout le Maghreb….